- 1ère étape: mariage d’Élodie à Coutance samedi.
- 2ème étape : petit tour chez les cousins de Bretagne dimanche
- ensuite....
Samedi 11 :
Mariage d’Elodie et Pascal, au Colombier de Sienne, entre Coutances
et Agon Coutainville.
Le temps était de la fête, 30°C à l’extérieur de la mairie,
et surement plus à l’intérieur.
Mariage bien sympathique, c’était très agréable de revoir la
famille Fablet.
Dimanche 12 :
Les moutons de prés salés nous ont réveillés, la lumière du
matin était excellente !!
Lendemain de mariage toujours au Colombier de Sienne, avec
un grilleur qui nous a préparé des saucisses frites. Toujours beau temps, l’ombre
des frêne facilite la sieste.
Nous quittons la Manche pour les Côtes d’Armor, Saint Maudez
entre Dinan et Plancouët, où se situe la maison de Monique.
Lundi 13 :
Le temps est incertain, entre pluie et soleil. Une balade en
bord de mer près de Saint Cast le Guildo pour admirer les paysages, et pour
s’apercevoir que de grosses pluies tombent dans les terres.
Mardi 14 :
Nous quittons la Bretagne sous la
pluie, pour la dune du Pyla. La pluie
nous a accompagné jusqu’en Charente, puis la chaleur est arrivée, 33°C près de
Bordeaux pour redescendre à 26°C près de la mer.
Le vent n’était pas favorable pour le vol…….
On a retrouvé notre coin pour dormir à la plage du petit
Nice. Nous ne sommes pas les seuls à avoir choisi de poser notre camion ici. On
y trouve des vans dans notre genre, mais aussi des gens qui dorment à la belle
étoile !!!!
Mercredi 15 :
Le temps est à l’orage, des coups de vent à 70km/h, pas le moment de sortir le parapente.
Une bonne balade le long du rivage pour rejoindre la dune. Un petit pique-nique et le beau temps refait son apparition.
Pour fêter le 15 Août, Arcachon offrait un feu d’artifice
tiré sur la plage : très très joli,
c’est la première fois que je voyais des feux d’artifice en forme de cœur.
Jeudi 16 :
On prend la route pour le Portugal : 6h30 de route au
soleil, merci la clim !!!
Petite halte du midi à Deba sur la côte espagnole.
Arrivée à Miranda do Douro vers 19h, on gagne une heure par
rapport à la France.
Petite ville avec un vieux quartier médiéval. Menu del dia pour le soir : soupe +
morue à la portugaise : c’est notre premier repas de morue, ce ne sera
surement pas le dernier !!!!
Vendredi 17 :
En route vers le premier site de parapente, Torre de Moncorvo,
en passant par Freixo ou les morts reposent dans des petites cabanes.
Torre de Moncorvo, 36°C à l’ombre de la forêt, une piste
accessible, mais vent de cul, donc on repart.
Direction la vallée du Douro pour arriver à Porto.
Magnifique vallée plantée de vignes, d’oliviers, d’arbres fruitiers, de petits
villages perchés. On passe la nuit au bord du Douro, près d’un embarcadère.
Samedi 18 :
On continue la descente de la vallée du Douro, toujours
aussi joli.
Pascal a repéré un site de bord de mer au nord de
Porto : la plage, une dune de 5 mètres, un parking et une belle raffinerie
de pétrole !!!!!
Bon pas assez de brise de mer, Pascal se baigne dans les
vagues, et on repart au sud de Porto.
On prend l’option camping, cela nous permet d’avoir une
place tranquille, de laisser le camion à l’abri et de pourvoir visiter Porto
dimanche en prenant le bus.
Dimanche 19:
Très bon plan le bus 906: il nous mène en haut du centre historique de Porto, ce qui nous a permis de visiter cette ville en descendant, ce qui est plutôt appréciable lorsque la température avoisine les 30°C.
Porto n'est pas une jolie ville, mais plutôt typique. Allez voir les photos.
On s'est fait un p'tit resto sympa: espadon grillé pour madame et ragout de poulpe pour monsieur, arrosé d'un petit vin blanc de la vallée du Douro: Resto Postigo do carvao
Retour par les caves de Porto. On a retrouvé notre bus, typique lui aussi, et fin de journée sur la plage.
Demain on part vers Lisbonne. Pas de mise à jour avant notre prochaine connexion internet.
Message spécial pour papa Raymond: tu trouveras dans l'album La baigneuse de Porto les photos faites tous les 3 mètres sur un rayon de 5 mètres d'un belle petite statut. J'aimerai bien que tu vois comment faire une copie.
Dimanche 19:
Très bon plan le bus 906: il nous mène en haut du centre historique de Porto, ce qui nous a permis de visiter cette ville en descendant, ce qui est plutôt appréciable lorsque la température avoisine les 30°C.
Porto n'est pas une jolie ville, mais plutôt typique. Allez voir les photos.
On s'est fait un p'tit resto sympa: espadon grillé pour madame et ragout de poulpe pour monsieur, arrosé d'un petit vin blanc de la vallée du Douro: Resto Postigo do carvao
Retour par les caves de Porto. On a retrouvé notre bus, typique lui aussi, et fin de journée sur la plage.
Demain on part vers Lisbonne. Pas de mise à jour avant notre prochaine connexion internet.
Message spécial pour papa Raymond: tu trouveras dans l'album La baigneuse de Porto les photos faites tous les 3 mètres sur un rayon de 5 mètres d'un belle petite statut. J'aimerai bien que tu vois comment faire une copie.
Lundi 20 :
Nous partons vers Lisbonne, toujours beau temps, pas trop
chaud (26°C), un nuage borde le front de mer.
Nous nous arrêtons à Aveiro, le vieux quartier ressemble un
peu à Murano, des canaux, des maisons basses,
avec un mélange d’architecture traditionnelle et d’art contemporain.
Petite resto à 8,5 euros le menu del dia : soupe, bar
grillé, vin + café, tout cela dans un cadre agréable, terrasse abritée au bord
d’un canal. Ça ne vaut pas le coup de s’en priver.
On s’arrête ensuite à Nazaré, petit village typique mais
très touristique, blindé de monde. On s’en écarte un peu en restant au bord de
l’eau, à la recherche d’un coin pour la nuit. Pascal trouve enfin un site de
parapente, une heure de vol en mini voile dans la brume. Il en profite pour
faire des repérages pour notre coin pour la nuit.
Au bord de la falaise, avec vue sur la baie de St Martinho
do Porto, la brume s’évapore pour nous laisser voir le paysage, mais revient
avec la nuit.
La place n’est pas propre lorsque nous arrivons, on dirait
une décharge publique, mais le paysage
est trop beau, allez ! J’enfile une paire de gants et au
boulot ; 2 sacs poubelle plus tard, la place est propre.
Mardi 21 :
Nous nous réveillons dans le brouillard, la corne de brume a
sonné toute la nuit.
Le nuage s’écarte et laisse enfin passer le soleil, Pascal
en profite pour voler. Le coin est sympa et en plus ça vole, après-midi plage pour madame et vol pour
monsieur.
Et on repart toujours en direction de Lisbonne, dans les
marais d’Obidos, pour y passer la nuit.
Ce qui est étonnant dans ce pays c’est qu’on ne voit
pratiquement pas d’insectes, 3 guêpes à Miranda, une nuée d’éphémères au bord du Douro, et des fourmis comme partout.
Pas de moustiques, pas de papillons de nuit, pas de lézards non plus…. Bizarre.
Mercredi 22 :
Ce matin, grand nettoyage du camion, les fourmis nous ont
envahis dans la nuit. De minuscules fourmis qui se baladent bien en ligne de
long en large et de bas en
haut !!!!!! La nourriture est bien emballée, elles n’ont touché à rien,
mais y’en a tellement que je pense qu’on en ramènera à Tourville.
Météo : toujours beau, 24/25°C en bord de mer, mais chapeau
et crème solaire obligatoire.
Pascal a trouvé un autre site pour voler, sur la plage au bout du marais, une falaise
et une dune, c’est splendide.
Nous repartons ensuite pour Peniché. Déjeuner au bord de
falaises, puis direction pour un autre site de vol en bord de falaise :
Calsa do freixo. Ce sont des falaises qui laissent place à des dunes, comme si
elles étaient trop friables et partaient en poussière.
Ce soir on dort sur la falaise, face au coucher de soleil.
Jeudi 23 :
Petits vols du matin pour Pascal, puis on reprend la route
pour Sintra, site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Ca vaut le détour. On a visité le château, et
ça se mérite !! il se trouve en haut d’une colline, accès à pied par des
petites ruelles. Heureusement qu’il y avait des nuages et du vent, pour nous
ventiler pendant l’ascension.
Ce soir, camping : demain on visite Lisbonne, même
principe que pour Porto, on laisse le camion au camping et on prend le bus pour
se rendre en centre ville.
Vendredi 24 :
Aujourd’hui Lisbonne.
On s’est offert un tour d’electricos, le tramway jaune de
Lisbonne, ce qui nous a permis de visiter les vieux quartiers par des rues
étroites qui ne sont empruntées que par les trams. Y’a du boulot de
restauration dans ces quartiers, et le
nettoyage des trottoirs n’est pas fait tous les jours !!!
Mais en descendant vers la mer, les quartiers sont plus
chics, et la vue sur la mer de paille
est magnifique. Petit resto bien sympathique, avec bar grillé au menu (et oui
la morue c’est pas notre truc, trop salée) et un vin vert spécialité du coin.
On reprend le tram, mais un moderne celui la, qui nous
emmène à Bélem. Visite du monastère de
Jéronimo : splendide, à voir absolument, un petit bijou. Face au monastère
le monument des Découvertes pointe vers l’estuaire du Tage, et plus loin, la
tour de Bélem, un petit bijou également, surtout quand le soleil se couche.
On quitte notre camping pour passer la nuit dans un coin
plus calme. Le camping de Lisbonne est très bien conçu sauf qu’il est situé
près des autoroutes d’accès à la ville !!!!
Nous trouvons donc un p’tit coin au bord d’une falaise près
de Sesimbra, au sud de Lisbonne, avec un petit resto qui nous attend. On
choisit le poisson que l’on veut pour le repas dans une vitrine réfrigérée. Ce
sera rouget barbet grillé toujours accompagné de vin vert.
Samedi 25 :
Notre petit coin est un accès au site de parapente et à la plage, très fréquentée la nuit par les
pêcheurs, on a donc été réveillé par le passage de voitures en pleine nuit.
Ce matin, ravitaillement dans le village de Sésimbra, avec
son marché aux poissons. On en profite pour acheter du bar pour le midi, qu’on
déguste au cap d’Espichel, le bout du monde. Un ancien lieu de pèlerinage
abandonné battu par les vents, avec une vue imprenable sur l’embouchure du
Tage.
Ensuite, on gare le Calif près du déco de parapente dans un
terrain un peu sablonneux : après
midi parapente pour Pascal et balade sur la plage pour Catherine. Il fait
toujours beau, 25°C avec du vent.
Séance photo au coucher du soleil pendant que Pascal vole.
Puis on reprend la route pour trouver un petit coin tranquille pour la nuit. On
n’a pas fait 2 mètres que le Calif s’est ensablé…. Pas moyen d’en sortir, et la
nuit est tombée !!!
Bon c’est pas grave, on va dormir sur place, on verra demain
il fera jour. Ca ne nous empêche pas de faire notre traditionnel barboc,
travers de porc et ratatouille (oui quand Pascal vole je cuisine !!)
Dimanche 26 :
Ce matin premier boulot, trouver quelqu’un pour nous sortir
du sable, et en prenant notre petit déj, on aperçoit à 100m de là 2 beaux
tracteurs. C’est décidé, l’objectif est de trouver le conducteur du tracteur et
de d’obtenir de lui qu’il nous sorte le Calif de son trou de sable.
Ca n’a pas été très compliqué, ici les gens parlent un peu
de français, un peu d’anglais, un peu d’espagnol et beaucoup le portugais.
Moyennant 30 euros, un gentil monsieur nous a dépannés, je pense qu’on n’était
pas ses premiers clients de la saison.
Une fois sortis de notre ornière, on repart s’installer sur
le parkingdu décollage, en dur celui la, pour une dernière après midi de vol de
bord de mer.
Et on repart direction Coimbra, en faisant une halte pour la
nuit à Tomar, afin de visiter le célèbre couvent du Christ classé au patrimoine
mondial de l’UNESCO.
Lundi 27 :
Ce matin on commence par la visite du couvent, un immense
couvent appartenant au chevalier des templiers, avec 4 ou 5 cloitres, une belle
église avec les peintures murales très bien conservées (allez voir les photos)
Puis on repart vers Coimbra, en passant par la sierra de
Lousa, pour dénicher un site de parapente près du village de . Le temps reste
beau, un peu nuageux, 25°C max.
On passe la nuit sur l’atterro.
Mardi 28 :
Ce matin, visite de Coimbra, une des plus vieilles
universités d’Europe, avec Salamanque, Bologne et la Sorbonne. Toujours très
sympathique ces vieilles villes étudiantes,
ce ne sont pas des villes musées mais de réels lieux de vie et
d’échange.
Le temps est couvet,
23°C et trois gouttes de pluie.
Spécialité du coin, le cochon de lait grillé : un
régal !!!
Le ventre plein on repart vers la sierra de Estrela, à la
recherche d’un nouveau site de parapente.
Le ciel est nuageux, mais ça vole
quand même.
On quitte le Portugal en fin d’après-midi en direction de
Piedrahita. Etape de nuit dans une forêt de chênes verts près de El Cabaco.
Mercredi
29 :
Aujourd’hui,
retour à Pieadrahita, une petite ville de Castille et Leon dans laquelle
nous avions séjourné en 2003. But du voyage, le vol de Piedrahita, avec un
plafond à cat-mil, (4000 mètres d’altitude), et de quoi faire un cross jusqu’à
Avilla (60km). Bon aujourd’hui Pascal ne fera que 40 bornes, mais on est quand
même content !!
A
part cela, ce petit village pocède une petite place très espagnole, avec bar ,
cevezas et tapas, + accès wifi dans tous les bars, donc une petite pose dans
notre voyage pour mettre à jour notre carnet de voyage.
Nuit
Calme, mais matinée un peu fraiche. Sur ce plateaux de 1000m d’altitude, le
vent de nord rafraichit l’atmosphère.
Jeudi
30 :
On
poursuit vers Ségovie, Arcones exactement, autre site de parapente. Bon,
la navette est un peu longue, mais faisable avec le Calif.
Le vent un peu fort force Pascal à voler avec la Spiruline, mais il se fait enterrer avant le terrain d’atterro, contraint à une marche d’une heure en plaine pampa.
Le vent un peu fort force Pascal à voler avec la Spiruline, mais il se fait enterrer avant le terrain d’atterro, contraint à une marche d’une heure en plaine pampa.
Ensuite,
route pour Burgos. Objectif, trouver un bon resto pour fêter mes 53 ans .
Objectif
atteint : menu dégustation :EL 24 DE LA PALOMA
Foie
gras aux noix de macadamia et abricots secs, avec chutney de pèche
Lasagne
d’aubergines
Raies
boule de pèche et fromage
Cochon
de lait amandes et mousse de fromage
Flan
+ glace au caramel et bâton de cacao
Tout
cela arrosé d’un Rioja
Très
bien, même très très bien !!!
On
a repris notre maison roulante pour s’installer pour la nuit 60km plus loin en
direction de Bilbao.
Vendredi
31 :
Ce
matin il fait frais, le vent de nord est toujours là. On prend la route
vers la mer, Bilbao, un autre site de bord de mer.
Pascal
se fait une copine, et moi un copain :
Pendant
notre repas du midi, près de la mer, une jeune vachette s’invite à notre table,
en faisant de l’œil à Pascal, j’ai cru qu’elle allait grimper dans le
Calif !!
Dans
l’après midi, en marchant dans un petit chemin, en bord de mer, un écureuil
s’est présenté au milieu du chemin à 20 mètre devant nous. Très attentif au
moindre bruit, il s’est avancé petit à petit vers nous, ne semblant pas nous
voir. Nous sommes restés immobiles, puis il est venu jusqu’à nous,
regardant les pieds de Pascal, et s’attardant sur les miens. Jamais un écureuil
ne m’avait reniflé les pieds !!!
Puis
il est reparti, s’arrêtant au moindre bruit, se levant sur ses pattes arrière.
Un
sublime moment de pur bonheur !!!!!!!!!!!!!! Bon j’ai pas fait de
photo !!!! mais j’ai vécu le moment, c’est très perso, je le reconnais,
mais j’assume.
On
quitte l’Espagne en fin de journée.
Samedi
1er septembre :
De
retour en France, notre étape de nuit est à Saint Pée sur Nivelle, le temps est
un peu frisquet.
Une
petite visite à Espelette , rouge piment !!
Puis
on file au Baigura, montagne au plein cœur du pays basque, site phare du
parapente. Et en plus aujourd’hui ça vole.
Le
chemin d’accès au sommet, j’abandonne à mi pente.
En
fin de journée nous retrouvons Nicolas pour une petite visite de Bayonne, puis
nous reprenons la route pour la dune du Pyla pour notre petit coin de nuit du
« petit Nice ».
Dimanche
2 septembre :
Il
faudra s’y faire, on reprend le boulot demain. Mais en attendant il fait beau,
et on profite de notre dernière journée sur la plage du Pyla, au soleil et dans
les airs pour Pascal.
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